Mission accomplie à Nahal Oz, quel bonheur pour les soldats… Vous ne pouvez pas imaginez leurs réactions de joie quand ils ont vu arriver notre camionnette, chargée des mets israéliens qu’ils préfèrent : plus de 230 borekas, plus de 230 pizzot, plus que de 230 feuilletés aux champignons…des boissons a volonté, XL, Coca Cola, jus de fruits diverses…et tout cela dans une ambiance unique !
Les achats entreposés dans la voiture :
Arrivée à la base militaire de Nahal Oz, les soldats ont été prévenus et nous attendent, c’est un plaisir de voir à quel point nous sommes pour eux un rayon de leur chez soi dans cette base de Tsahal :
J’aimerais juste vous faire passer un message de la part de nos soldats, certains ont été étonné de nous voir, et nous ont dit » ils ne nous ont pas oublié en fin de compte ! » Il faut savoir qu’avec ces cessez-le-feu qui se répètent, ces retraits de Tsahal, et ses soldats qui reviennent puis repartent …les bénévoles ne sachant pas trop la situation sur le terrain ont cessé depuis plus de 20 jours les opérations de solidarité pensant que tout va pour le mieux et les vacances sont aussi terminées…
Et bien, non, ils sont encore en bordure de Gaza et en nombre et ont besoin de notre chaleur. L’un d’eux a fait pleurer Dan et moi même : il nous a dit » Merci pour toute cette générosité, pour cette abondance, mais ce qui nous fait le plus de bien est votre présence ».
Je lui ai donc demandé » De quoi ont le plus besoin les soldats ? » Il a répondu » attends, je vais te répondre » puis il a prit son portable et nous a montré la photo de son petit garçon. Le soldat pleurait, ainsi que Dan et moi même…
Je lui ai dit « c’est la seule chose que je ne peut t’apporter », et il nous a serré très fort en pleurant et puis il est partit . Voila ce sont les soldats de l’armée de D…ils nous donne tout ce qu’ils ont pour notre sécurité, pour avoir ce pays merveilleux, alors à nous aussi de leur donner ce que nous pouvons !
A tous, merci pour votre aide tout au long de l’été, nous avons fait ensemble de belles actions, le flan est tombé, il ne faut pas, il faut continuer, sans vous nous ne pouvons strictement rien faire.
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